LE TIBETAIN

LES ENSEIGNEMENTS DU TIBETAIN

LES EFFETS DE L'EXTERIORISATION

LES EFFETS DE L'EXTERIORISATION


Septembre 1949
Dans mon instruction précédente sur ce sujet, j'ai traité des diverses énergies qui seraient mises en activité ou utilisées, lorsque les Maîtres sortiraient du silence où Ils se sont maintenus pendant des millénaires. Le point qu'il faut saisir, c'est que les énergies dont j'ai parlé seront utilisées d'une manière nouvelle et plus vitale. Ces énergies sont toujours présentes et toujours actives, mais elles entrent en activité successivement, selon l'ordre et la loi de sorte qu'à un moment donné certaines sont plus puissantes que d'autres ; elles agissent avec vitalité au programme nécessité par les plans de la Hiérarchie dans tel ou tel cycle particulier.
Ces énergies engendrent ce que nous appelons négligemment les "événements" du jour ; elles conditionnent les civilisations qui se succèdent, et font tellement partie du monde dans lequel nous avons le mouvement, la vie et l'être, que les événements, en tant qu'expression d'énergies dirigées, ne signifient pas grand-chose pour nous, sauf dans la mesure où elles affectent défavorablement notre personnalité. Elles signifient simplement un mode de vie à un moment spécifique. L'activité de ces énergies fut mise en route, dans la nuit des temps ; chacune d'elles établit son nécessaire rythme cyclique ; elles sont responsables de l'activité de la substance sur la matière, ou de l'action du corps vital ou éthérique sur la matière. Elles sont l'expression formulée la plus basse de l'Intelligence créatrice, incarnant le principe de vie, car elles sont essentiellement la vie même, et la vie en action. N'oubliez pas que la matière dense n'est pas un principe ; elle est seulement ce qui est réceptif au principe créateur.
Néanmoins, lorsque l'extériorisation de la Hiérarchie commencera (cette extériorisation s'étendra sur une longue période), l'impact de ces énergies de la substance sur la matière sera radicalement modifié, car – pour la première fois dans l'histoire – elles seront dirigées à partir des niveaux éthériques, à partir du corps éthérique de la planète dans les trois mondes.
Jusqu'ici, ces énergies ont été dirigées à partir du plan bouddhique, qui est le plus bas des niveaux éthériques cosmiques. Fondamentalement, la direction partira toujours du plan bouddhique, mais la direction détaillée et centrée aura sa source au sein des trois mondes et sur le plan physique ; ce sera la tâche des ashrams extériorisés, organisés pour fonctionner ouvertement.
C'est parce qu'elle savait cet événement imminent que la Hiérarchie entreprit d'élargir l'étendue ou la portée de son activité enseignante, et de porter ainsi à la conscience de l'homme moderne la connaissance de ce qu'est essentiellement l'occultisme. Les notes-clé sur lesquelles la philosophie occulte est fondée sont :
1. Il n'y a rien d'autre dans la manifestation que de l'énergie organisée.
2. L'énergie suit la pensée et s'y conforme.
3. L'occultiste travaille avec l'énergie et dans l'énergie.
La pensée de Dieu mit en forme organisée les énergies de l'univers, sur le plus élevé des sept plans, le premier niveau éthérique cosmique. Pendant d'innombrables éons, ces énergies ont été dirigées à partir du plan le plus bas,  le quatrième, des plans éthériques cosmiques, que nous appelons le plan bouddhique et considérons comme le premier plan véritablement spirituel dans notre habituelle pensée erronée ; cette direction a subi l'impression de Shamballa, et les Maîtres ont manipulé ces énergies en conformité avec le Plan, qui est le schéma du Dessein.
Lors de la grande Approche de la Hiérarchie vers l'humanité, et de son imminente apparition sur le plan physique, le centre de direction se rapprochera nécessairement encore et – comme résultat de la future manifestation hiérarchique – des centres de direction d'énergie seront situés là où se trouvera l'ashram d'un Maître, dans n'importe quelle partie du monde. Ceci est une déclaration profondément significative ; c'est une indication de la politique hiérarchique et un mode par lequel la science moderne (qui travaille avec les énergies) peut être amenée à coopérer, par association et relation, avec un ashram du plan physique, reconnaissant la chose pour ce qu'elle est, un départ entièrement nouveau.
Précédemment, j'ai déclaré que les lieux ou localités du plan physique, qui constituent les sorties actuelles des énergies par lesquelles les énergies dirigées peuvent passer pour mettre en oeuvre le processus créateur, sont au nombre de cinq : New-York, Londres, Genève, Darjeeling et Tokyo. Ces cinq points forment une étoile à cinq branches d'énergies entrelacées, symbolique des divisions majeures de notre civilisation moderne. Je souhaite que vous vous souveniez que tout ce que je vous indique ici, concernant cette énergie, est en relation avec le règne humain, et rien d'autre. Je ne relie pas ces énergies à d'autres règnes de la nature. Je m'occupe ici de l'utilisation de l'énergie sur le plan physique, par le pouvoir de la pensée dirigée, et à l'avantage de l'évolution et du bien-être du genre humain. A chacun de ces cinq centres, l'un des Maîtres sera présent avec son ashram ; un tourbillon de forces spirituelles sera organisé en ce point afin de hâter et de matérialiser les plans du Christ pour le nouveau et prochain cycle mondial.
L'organisation de ces cinq centres se fera lentement et graduellement. Un disciple de haut degré apparaîtra et travaillera sans bruit au travail de base, réunissant autour de lui les nécessaires agents, aspirants et assistants.
L'ensemble des travailleurs de n'importe quel centre sera entraîné à penser, et l'effort actuel, dans le monde social et éducatif, pour obliger les hommes à penser par eux-mêmes, est un aspect général de ce processus d'entraînement.
Tant que l'homme ne pourra pas penser et décider par lui-même, il ne pourra pas être un collaborateur intelligent, de bonne volonté et compréhensif, travaillant avec un ashram, réglant et dirigeant le processus créateur. Si les nouveaux cieux et la nouvelle terre doivent devenir un fait dans la manifestation et dans la réalité, cela veut dire qu'un grand processus de nouvelle création doit être mis en route, et c'est ce concept qui est à la base de l'enseignement concernant les cinq centres de la terre, et le rôle qu'ils joueront dans la reconstruction et la réorganisation du monde.
A mesure que les prochaines années attireront l'attention sur l'intention hiérarchique, les disciples et les aspirants devront chercher les hommes et les femmes qui travaillent en groupe, selon des lignes spirituelles, dans l'une ou l'autre de ces localités, ou dans le voisinage.
Une opposition initiale à la fondation de ces centres d'hommes et de femmes à la pensée claire, travaillant dans la liberté et la compréhension avec l'un des Maîtres ou des initiés de haut degré, existe déjà malheureusement ; elle consiste dans l'information étroite et partiale et le manque de liberté des écoles de pensée totalitaires. Ceci était inévitable, car la loge noire s'efforce toujours d'agir parallèlement, de contrebalancer ou de détruire le travail de la Loge Blanche, et jusqu'ici avec succès. Mais ce cycle de réussite prend fin lentement, car l'énergie de la bonne volonté, émanant de la Volonté-de-Bien, devient rapidement efficace.
A Londres, à New-York, à Genève, à Darjeeling et à Tokyo, on trouvera finalement un Maître, organisant un centre majeur d'énergie ; en même temps, son ashram continuera à fonctionner sur les niveaux bouddhiques, car tout le personnel n'a pas été alerté en vue de l'extériorisation. L'ashram continuera donc à travailler sur deux niveaux – ce qui d'ailleurs n'est pas une énonciation correcte des faits, car il n'y a pas de niveaux, comme vous le savez parfaitement, mais seulement des états de conscience. Ne me demandez pas comment cela est possible ; réfléchissez à la relation de cette apparition double et simultanée en essayant de saisir la nature de la forme manifestée du Logos planétaire en la Personne de Sanat Kumara. Sanat Kumara n'est pas la personnalité du Logos planétaire, car la personnalité, telle que vous la comprenez, n'existe pas dans son cas. Ce n'est pas l'âme du Logos planétaire car cette âme est l'anima mundi, et l'âme de toutes les formes, dans tous les règnes. Sanat Kumara, l'Eternellement Jeune, peut être vu par Ceux qui en ont le droit, présidant, par exemple, le Conseil de Shamballa ; cependant Il est en même temps présent, en tant que vie et intelligence informant la planète, en elle-même et à sa surface.
Vous avez donc cinq points, où l'extériorisation des ashrams aura lieu, et sera finalement centrée. A partir de ces points, au cours du temps, d'autres ashrams de nature subsidiaire émergeront, fondés et pris en charge par des disciples et des initiés de ces cinq ashrams et représentant les trois rayons majeurs, et les deux rayons mineurs. Pour commencer, ils seront fondés grâce à la présence, dans ces localités, de quelque disciple de haut degré ou mondial ; il faut se souvenir que l'avant-coureur de tous les mouvements qui apparaissent sur le plan physique est une propagande éducative ; donc, un disciple de second rayon entrera en action, tout d'abord, dans ces cinq points ; il sera suivi par un disciple de septième rayon. Tous les mouvements mondiaux sont, comme vous le savez, des extériorisations d'idées ou de concepts subjectifs, et de phases de la pensée formulée ; l'apparition de la Hiérarchie sur terre, en forme tangible, ne fait pas exception à cette règle.
Les disciples de ces ashrams ont reçu une instruction depuis près de cent cinquante ans en vue de ce travail ; certains ont réussi à maintenir l'idée et l'impulsion originelles claires, sans altération due à leur propre pensée, et ont adhéré – même dans leurs pensées intimes – au programme hiérarchique, tel qu'il leur a été présenté par les Maîtres ou les initiés de haut degré. D'autres ne possédaient pas des facultés de raisonnement aussi claires, ou une perception intuitive aussi active et – bien qu'ayant compris quelques concepts majeurs, tels que l'unité mondiale, ou les graduations et la domination hiérarchiques – ils déformèrent la vérité et engendrèrent de nombreuses idéologies qui ont tourmenté le monde depuis un siècle. Cette distorsion même, néanmoins, est mise au service du bien, car elle provoqua un effort redoublé de la part de la Hiérarchie pour la compenser ; elle produisit aussi un ferment de pensée dans le monde, qui a servi à éveiller le mental chez les masses, et à leur ouvrir des possibilités et des horizons qui, jusque là, n'avaient été envisagés que par des penseurs avancés ou initiés. L'homme de la rue, aujourd'hui, a absorbé les idéologies à un point inattendu, et la tentative consistant à faire de lui un facteur actif de notre civilisation moderne n'est pas trop dangereux, compte tenu de l'élément temps, tel qu'il est divinement conçu, et de l'intégrité fondamentale et inébranlable de l'être humain divin. Le temps et la divinité, les événements et la bonté instinctive, vont triompher à la longue. Les angoisses intermédiaires sont pénibles, mais pas définitives, et elles ne sont pas triomphantes du point de vue des forces noires. Ces forces sont face à une perspective de défaite proche et inévitable, comme conséquence de la guerre, et de la résurrection de l'esprit humain.
Déjà, les centres de Londres et de New-York donnent des signes de vie, et les disciples sont actifs dans ces deux lieux, et selon toutes les lignes de l'expression humaine. Le centre de Genève est actif aussi, mais pas si complètement et inclusivement ; il attend un plus grand calme et une impression plus ferme de sécurité en Europe.
Le centre de Darjeeling "vibre", selon le terme occulte, mais c'est par réaction à la proximité relative de la Fraternité himalayenne ; tandis qu'à Tokyo, il y a encore plus d'activité, et ce qu'il y a n'est pas de grande importance. Le travail dans ce centre sera véritablement engendré par le travail des Triangles. Je ne veux pas dire par là que Tokyo sera un centre de travail des Triangles, mais que l'activité méditative concentrée de ceux gui sont engagés dans l'activité des Triangles fera surgir magnétiquement ce qui doit apparaître quand un centre est organisé. En fait, ils créent l'atmosphère nécessaire, et ceci est toujours une mesure préliminaire. Lorsque l'atmosphère ou l'air où nous respirons et nous mouvons existe, la forme vivante peut alors apparaître.
Objectivement donc, le travail d'enseignement de second rayon est le premier à être organisé. Subjectivement les travailleurs de premier rayon sont déjà actifs, car le travail de premier rayon, avec son activité de perturbation et de destruction, prépare la voie ; la douleur et la rupture précèdent toujours la naissance, et les agents du premier rayon travaillent depuis près de deux cents ans. Les agents du second rayon commencèrent leur préparation vers l'année 1825, et s'extériorisèrent en force après 1860. A partir de cette date, les grands concepts et les idées nouvelles, les idéologies modernes et les arguments pour et contre les aspects de la vérité, ont caractérisé la pensée moderne et provoqué le chaos mental actuel et les nombreuses écoles et idéologies, avec les mouvements et les organisations qui les accompagnent ; de tout ceci, sortira l'ordre, la vérité et la nouvelle civilisation. Cette civilisation émergera, comme conséquence de la pensée de masse ; ce ne sera plus une civilisation imposée par une quelconque oligarchie. Cela sera un phénomène nouveau, que la Hiérarchie a dû attendre avant de réapparaître. Si la Hiérarchie était venue avant cette ère de pensée, de discussion de masse et de lutte pour favoriser les idées créatrices, les principes et les vérités que soutient la Hiérarchie auraient pu être considérés comme "imposés" à l'humanité et donc empiétant sur la liberté humaine. Il n'en sera pas ainsi maintenant, et la Hiérarchie va apparaître en manifestation exotérique, car l'humanité a, par son libre arbitre, acquis une qualité analogue à celle de la Hiérarchie, et donc magnétique pour cette organisation spirituelle. La bonne volonté fera sortir de leur demeure cachée, secrète et sacrée, les Représentants de l'Amour, et c'est ainsi que naîtra le monde nouveau.
On tente déjà d'établir ces ashrams subsidiaires dans les diverses parties du monde. Il est nécessaire de se souvenir que tous les membres de ces ashrams ne seront pas sur la ligne de l'enseignement, mais que ces ashrams seront composés de disciples sur de nombreux rayons ; la tentative pour former des ashrams cohérents et intégrés est basée sur la reconnaissance de la difficulté initiale qu'ont les aspirants de divers rayons à comprendre leur point de vue et leur mode de travail réciproque, et de penser selon des termes et modes différents et nombreux. Il existe néanmoins trois exigences fondamentales qui doivent conditionner et colorer tous les ashrams, quel que soit le rayon :
1. Une unité de groupe interne qui conduit à une synthèse de compréhension entre les divers ashrams. D'un objectif de groupe unifié, jaillit un sentiment de loyauté envers la Hiérarchie, et de vie uniformément disciplinée. Je dis uniforme, mon frère, car la discipline est celle de l'inclination spirituelle et de l'intention inspirée, qui produit une similitude de vie chez les membres de l'ashram ; ceci est naturellement diversifié par la qualité de rayon des aspirants et des disciples, et par la tradition de la personnalité.
Réfléchissez à ces deux derniers termes.
2. Une similitude d'objectif. Par là je veux dire une appréhension et une appréciation du Plan hiérarchique, et de la contribution que chaque ashram doit apporter pour sa matérialisation sur terre ; à cela, il faut ajouter une similitude ashramique de rapport télépathique instinctif et intuitif avec les membres anciens de l'ashram, les Maîtres et initiés de haut degré, et, à travers Eux, avec le Christ. Je souhaite ici attirer votre attention sur le fait que l'inclination mentale de tous les ésotéristes, pendant les cent dernières années, a été dirigée vers un rapport individuel avec un Maître, et ceci parce qu'il était nécessaire de découvrir l'ashram avec lequel l'aspirant devait entrer en contact.
Cette attitude est maintenant élargie mentalement dans son approche, par les nombreux disciples diversifiés des nombreux et différents ashrams, en un mouvement ou inclination de groupe, vers le Christ, le facteur majeur dans la mise en oeuvre du Plan hiérarchique. Cette approche mentale n'est pas de même nature que la préoccupation constante pleine d'aspiration du dévot chrétien sérieux qui suit le Christ dans ses pensées.
C'est un effort unifié de groupe engendré dans chaque ashram et nourri dans tous, qui amène le groupe entier – en tant que collectivité de serviteurs du monde – dans l'aura des courants de pensée du Christ, alors qu'Il formule ses idées, crée la forme-pensée devant nécessairement précéder sa manifestation, et prend ses dispositions en vue de sa réapparition. Ceci est différent de l'établissement d'un rapport télépathique entre un individu et le Christ, ce qui n'est ni nécessaire, ni désirable. L'unité d'objectif, le désir de servir, la reconnaissance de l'actuelle intention centrée de la Hiérarchie, sous la conduite du Christ, deviennent un état magnétique et invocatoire de la conscience de groupe ; ceci évoque, de la part du Christ et de ses Maîtres informés, une identification de leur pensée conjointe avec l'aspiration de groupe. C'est la correspondance spirituelle supérieure de ce qu'on appelle Kama-manas, dans les trois mondes.
Ceci, je m'en rends compte, n'est pas chose facile à comprendre lorsque c'est séparé du concept chrétien habituel, de relation du Christ avec l'aspirant individuel. Vous pouvez peut-être clarifier cette idée en vous rappelant que certains de ceux qui lisent ces mots me connaissent et ont trouvé le chemin de mon ashram, sous la conduite de leur âme et par ma prompte reconnaissance. D'autres, dans le monde entier, par leur intuition spirituelle, leur désir de servir et de connaître, ont placé, dans l'aire reconnue de leur conscience, l'enseignement donné dans mes livres. Leur relation avec moi est symbolique du type de relation que les disciples et les aspirants peuvent établir et établissent avec le Christ. Bien que l'analogie soit loin d'être parfaite, il est possible de reconnaître la correspondance, dans ses nombreux degrés, de sensibilité réciproque.
3. Une similitude fondamentale, chez les membres de tous les ashrams, de réponse sympathique aux besoins de l'humanité à la qualité du programme prévu pour son développement et qu'exige l'objectif, ainsi qu'à la nature de la bonne volonté et de la compréhension appliquées intelligemment ; toutes ces qualités ne sont pas handicapées par une sensibilité émotionnelle déplacée.
Ces trois conditions se trouveront dans tous les ashrams et uniront les membres d'un ashram aux autres ashrams, dans un rythme de relation télépathique. A partir de cette position centrale et unifiée, une relation télépathique, s'approfondissant rapidement, sera inévitablement établie et maintenue par le groupe, entre l'ashram et le Christ d'une part, et avec l'humanité d'autre part. Ayant, à la base, cette qualité conditionnante, le travail peut se poursuivre comme prévu.
Vous noterez donc pourquoi, pendant les trente dernières années d'enseignement, j'ai constamment insisté sur la nécessité de développer une sensibilité véritablement spirituelle et psychique, ainsi que la faculté de rapport télépathique scientifique. J'ai ainsi posé les fondements de la Science de l'Impression, le mental illuminé et correctement orienté étant l'interprète, l'analyste, et le transmetteur.

Vous êtes ici : Accueil 13 EXTERIORISATION DE LA HIERARCHIE (VIA ALICE BAILEY) LES EFFETS DE L'EXTERIORISATION